Cette deuxième journée d’étude autour « du former au et par le sensible » souhaite poursuivre la réflexion entamée lors de la précédente.
La journée d’étude s’attachera à poursuivre le questionnement de la place du sensible dans l’école avec l’idée en quelque sorte de le réhabiliter et de lui donner toute la place qu’il mérite comme forme de connaissance.
Les questions que nous posions restent les mêmes et orienterons les interventions des conférenciers et des animateurs des ateliers : peut-on didactiser « le sensible » et à quelles fins ? Comment ne pas l’isoler de ce qui le fait naitre, de ce qui en est à l’origine ? Comment apprend-on par « le sensible » ? Quels dispositifs permettent-ils de mobiliser les approches sensibles pour l’apprentissage de tous les élèves et quels savoirs peuvent-ils alors être construits ? Comment passer de ce savoir souvent diffus, peu réfléchi à sa « formalisation » en vue de son institutionnalisation ?